Chaque quartier de Yaoundé, capitale du Cameroun, tente de mettre en place des comités d’autodéfense – ou de vigilance - pour lutter contre le banditisme. Le problème, c’est que la population n’est pas toujours prête à mettre la main au porte-monnaie pour payer les vigiles. Exemple dans le quartier périphérique Ngoulemekong.